Section dédiée pour vous permettre de trouver les réponses aux questions qui nous sont le plus souvent posées. Si la vôtre ne fait pas partie de la liste, ou si vous souhaitez en discuter en profondeur, n’hésitez pas à nous contacter directement ici, nous serons heureux d’entrer dans les caractéristiques détaillées de vos installations & besoins de nettoyage.
Il n’y a pas de réponse unique à cette question, car cela dépend de la localisation exacte de la structure PV à nettoyer. Même dans les zones désertiques sans pollution industrielle ou agricole, le nettoyage à l’eau peut être nécessaire (occasionnellement), par exemple pour nettoyer le sable qui a été cimenté sur la surface PV par la rosée pendant la nuit rendant le nettoyage à sec inefficace ou au moins moins pertinent que dans des conditions sablonneuses » normales « .
Là encore, aucune réponse homogène ne peut être donnée, car la combinaison des facteurs d’influence sur la fréquence de nettoyage peut être illimitée puisqu’il faut tenir compte :
Quoi qu’il en soit, de nombreuses études et mesures ont été entreprises afin d’évaluer la fréquence de salissure dans le monde entier et de déterminer la fréquence moyenne optimale en fonction des coûts de salissure encourus. Par exemple, les installations photovoltaïques indiennes nécessiteraient entre 10 et 25 cycles de nettoyage par an, alors que les Etats-Unis sont entre 2 et 5 fois, en passant par le Mexique avec 7 à 15 cycles par an.
Il s’agit d’une approche au cas par cas, dans laquelle il faut également déterminer l’objectif du nettoyage des panneaux solaires : s’agit-il » seulement » d’augmenter le rendement énergétique de l’installation, et/ou de préserver l’intégrité des modules sur une durée de fonctionnement de plusieurs dizaines d’années ?
Le plus souvent, les finances d’un projet PV sont basées sur le LCOE (Levelized Cost Of Energy) qui représente les coûts totaux de production tout au long de son cycle de vie… A ce jour, les cas où les coûts de salissure (ou de non nettoyage) sont intégrés sont rares, même si la prise de conscience de ces questions est en train de changer l’approche. Alors, en théorie, on pourrait plutôt décider d’intégrer les coûts de non-nettoyage et décider de prendre les décisions financières qui en découlent. Mais cela supposerait une longue liste de pré-requis qui ne sont pas si faciles à intégrer financièrement :
Face à ces incertitudes, une chose est sûre : vos modules ne produiront pas au maximum de leur potentiel à cause de l’encrassement. Seule une mesure sur site vous donnera une idée des pourcentages de pertes et des cycles de nettoyage nécessaires, et guidera donc naturellement votre décision entre nettoyage et non nettoyage…
Il n’y a pas de réponse unique à cette question, car cela dépend de la localisation exacte de la structure PV à nettoyer. Même dans les zones désertiques sans pollution industrielle ou agricole, le nettoyage à l’eau peut être nécessaire (occasionnellement), par exemple pour nettoyer le sable qui a été cimenté sur la surface PV par la rosée pendant la nuit rendant le nettoyage à sec inefficace ou au moins moins pertinent que dans des conditions sablonneuses » normales « .
Là encore, aucune réponse homogène ne peut être donnée, car la combinaison des facteurs d’influence sur la fréquence de nettoyage peut être illimitée puisqu’il faut tenir compte :
Quoi qu’il en soit, de nombreuses études et mesures ont été entreprises afin d’évaluer la fréquence de salissure dans le monde entier et de déterminer la fréquence moyenne optimale en fonction des coûts de salissure encourus. Par exemple, les installations photovoltaïques indiennes nécessiteraient entre 10 et 25 cycles de nettoyage par an, alors que les Etats-Unis sont entre 2 et 5 fois, en passant par le Mexique avec 7 à 15 cycles par an.
Il s’agit d’une approche au cas par cas, dans laquelle il faut également déterminer l’objectif du nettoyage des panneaux solaires : s’agit-il » seulement » d’augmenter le rendement énergétique de l’installation, et/ou de préserver l’intégrité des modules sur une durée de fonctionnement de plusieurs dizaines d’années ?
Le plus souvent, les finances d’un projet PV sont basées sur le LCOE (Levelized Cost Of Energy) qui représente les coûts totaux de production tout au long de son cycle de vie… A ce jour, les cas où les coûts de salissure (ou de non nettoyage) sont intégrés sont rares, même si la prise de conscience de ces questions est en train de changer l’approche. Alors, en théorie, on pourrait plutôt décider d’intégrer les coûts de non-nettoyage et décider de prendre les décisions financières qui en découlent. Mais cela supposerait une longue liste de pré-requis qui ne sont pas si faciles à intégrer financièrement :
Face à ces incertitudes, une chose est sûre : vos modules ne produiront pas au maximum de leur potentiel à cause de l’encrassement. Seule une mesure sur site vous donnera une idée des pourcentages de pertes et des cycles de nettoyage nécessaires, et guidera donc naturellement votre décision entre nettoyage et non nettoyage…
Des études ont démontré que les modules PV plats sont beaucoup plus sujets aux effets de l’encrassement, lorsqu’on les compare directement aux structures à angle élevé. Comme indiqué ci-dessus, d’autres dimensions clés telles que le type de matériau de salissure, l’orientation du vent, la fréquence des événements pluvieux, etc… doivent être prises en considération lors de la définition de la procédure de nettoyage d’une installation photovoltaïque spécifique.
Prenons l’exemple du pare-brise de votre voiture : en l’absence de pluie, sans l’apport mécanique d’eau et l’action simultanée des essuie-glaces, il peut rapidement se boucher. Plus sérieusement, toutes les études faites sur les effets de l’encrassement sur la production PV prennent en compte les événements climatiques » ponctuels » comme la pluie, qui ont un impact positif (mais limité) sur le nettoyage, puisqu’elle manque l’action mécanique de la brosse.
Les parcs solaires sont construits avec une durée de vie moyenne de 20-30 ans ; non seulement les pertes de production seront plus importantes au fil du temps sans procédure de nettoyage en place, mais le risque de points chauds sera également multiplié, endommageant rapidement les panneaux, jusqu’à parfois nécessiter le remplacement complet des panneaux.
Notre WetSlider dédié au nettoyage automatique de fermes solaires à trackers à espacement étroit utilise l’eau à la fois pour son mouvement et pour le nettoyage des modules en même temps. Pour accomplir ces deux tâches, 0,5 L d’eau /m² seulement est nécessaire : mouvement illimité et panneaux solaires nettoyés n’est plus une utopie !